L’arrivée du Blondinet de service !

Isuzu était perdue dans ces souvenirs, souvenirs très douloureux. Elle une main sur sa poitrine serrant son point.

"C’est tout simplement affreux... "

"Oui, mais je me suis habituée à tout cela...c'est mon destin!"

Kaze se tut et ne dis plus rien un bon moment. Sans doute choquée par le comportement de la tante d'Isuzu. Kaze s'escusa devant elle.

"…je suis désolé. Je suis un idiot. Je blesse les gens sans m’en rendre compte…pour ca, je te demande mille fois pardon…"

"Non ce n'est pas ta faute kaze-kun,tu n'est pas un idiot, ne dis jamais ca, tu m'entends!"

Isuzu s'emporta sans vraiment le vouloir, elel ne voulais pas voir kaze devenir triste par sa faute, elel ne le supporterai pas!

"Est-ce que l'on t'as déja dit kaze-kun que tu n'était rien? Que tu n'as pas le doit d'etre heureux? Que tu ne valais rien? Que tu n'étais qu'un moins que rien? Que si tu mourrais tu n'ennuyeras plus les autres? Moi tout ca, on me l'as dit plusieurs fois!"

Isuzu tourna ses yeux noirs vers le ciel, toujours aussi pensive. Elle aurait voulu avoir une toute autre vie que celle qu'elel avait, mais c'était son destin, elel devait donc faire avec.

Hj: ce n'est pas grave ^^

"Oui, mais je me suis habituée à tout cela...c'est mon destin!"

Kaze secoua la tête négativement après les propos que lui avait adressée Isuzu. Elle l’avait déçut. C’est son destin, c’est son destin…mais, ne sommes-nous pas maitres de notre destinée ? Dans ce cas, Isuzu n’avait pas le droit de parler ainsi.

"Ne dis pas ca. Un destin peut être changé si la personne le souhaite réellement. La prochaine fois que ta tante ose te toucher, appelle moi. "

Il avait dit ca d’un ton froid, voire tranchant, et compté bien user de sa double personnalité pour faire comprendre a la tante d’Isuzu qu’il ne faut pas frapper les gens…même s’il compté lui apprendre non en douceur, vous vous en doutez bien.

"Non ce n'est pas ta faute kaze-kun,tu n'est pas un idiot, ne dis jamais ca, tu m'entends!"

Le jeune homme blond fit un petit sourire timide tout en regardant le sol, les genoux repliés sur son torse, les mains jointes. Il observé les pétales de cerisiers tomber sur la terre sèche et rappeuse. Ses cheveux en étaient d’ailleurs couverts. Ses yeux bleus…ses cheveux blonds…les pétales roses…une vraie Barbie. On comprend mieux pourquoi certaines personnes s’amusent à le traiter de fille. Manquerait plus que la jupe…

"Est-ce que l'on t'as déja dit kaze-kun que tu n'était rien? Que tu n'as pas le doit d'etre heureux? Que tu ne valais rien? Que tu n'étais qu'un moins que rien? Que si tu mourrais tu n'ennuyeras plus les autres? Moi tout ca, on me l'as dit plusieurs fois!"

Kaze releva la tête nonchalamment et détourna son regard du sol pour le porter sur Isuzu. Son regard n’était pas joyeux, mais pas non plus triste. Il n’avait strictement aucunes émotions dans le regard…les pupilles vides, rien…le néant.
Il tarda à répondre, comme si une porte de béton empêchée le son de sortir de sa bouche.
Les mains toujours collées à ses genoux, il posa son menton dessus, puis fit un petit sourire sans signification à la brunette.

"…a vraie dire…j’ai été bercé par ces mots. Dès ma naissance, quand j’ai…"

Il hésita un moment, le remord et la culpabilité lui serrant la gorge.

"…quand j’ai…tué ma mère…"

Ravalant sa salive, il continua.

"…quand j’ai tué ma mère, mon père me l’a reproché toute mon enfance. Je n’ai eut aucune affection de sa part…seulement des « monstres », « idiot », « sort de ma vie ! », « fils indigne, tu as tué ta mère ! monstre ! », « démon », « abrutit », « tu ne sers a rien, seulement a faire du mal autour de toi. », « sauvage ! », « tu n’as même pas de personnalité, tu n’es que la moitié de toi-même ! », « meurs, ca me fera des vacances ! », « bon a rien !! »…
Un jour, mon père en eut assez et partit. La tutrice qui m’éleva par la suite était pire que mon père…elle m’a…elle m’a…"

Il se tut, les mots devenant trop dures à sortir, les souvenirs trop durs à se remémorer.

"Quoi qu’il en soit…j’interdis ta tante de te toucher à présent. Si elle le fait, elle mourra dans d’atroces souffrances…"

La deuxième personnalité venait de prendre la parole. D’un ton tranchant et aussi froid de l’acier, il menacé clairement Misa. Un meurtre de plus…rien de bien grave...

Isuzu vit kaze érrer dans ses pensées un moment. Ecoutant la jeune fille Kaze avait l'air un peu dégoutée de la vie encore plus.

"Ne dis pas ca. Un destin peut être changé si la personne le souhaite réellement. La prochaine fois que ta tante ose te toucher, appelle moi. "

*Hein il est sérieux?*

"Tu sais maintenant qu'elle m'as mise ici, je pense pas qu'elle reviendras me voir! Elle me hais de tout son coeur mais c'est pareil pour moi.

Isuzu lui posa une question un peu personnelle et assez embarassante quand celui un peu pertubé, ne trouvant pas ces mots commença à bagayer un peu.

"…a vraie dire…j’ai été bercé par ces mots. Dès ma naissance, quand j’ai…"

Il avait du mal a trouvé ces mots, hésitant un peu à reparler de nouveau.

"…quand j’ai…tué ma mère…"

Hein??? Il a tué sa propre mère? mais pourquoi donc? Pourquoi faire une telle chose? Note que Moi tante Misa si j'avais assez de force, je l'aurais déja tuée depuis bien longtemps!"

Kaze interrompis Isuzu qui était dans ses pensées et continua de raconté son histoire.[i]

"…quand j’ai tué ma mère, mon père me l’a reproché toute mon enfance. Je n’ai eut aucune affection de sa part…seulement des « monstres », « idiot », « sort de ma vie ! », « fils indigne, tu as tué ta mère ! monstre ! », « démon », « abrutit », « tu ne sers a rien, seulement a faire du mal autour de toi. », « sauvage ! », « tu n’as même pas de personnalité, tu n’es que la moitié de toi-même ! », « meurs, ca me fera des vacances ! », « bon a rien !! »…
Un jour, mon père en eut assez et partit. La tutrice qui m’éleva par la suite était pire que mon père…elle m’a…elle m’a…"

[i]*Je n'en reviens pas d'entendre cela. C'est horrible, il as du souffrir toute son enfance et encore maintenant. Comment peux t-on rejetter son enfant ainsi c'est monstrueux!*

"Quoi qu’il en soit…j’interdis ta tante de te toucher à présent. Si elle le fait, elle mourra dans d’atroces souffrances…"

[i]*Pourquoi fait-il tout cela? Parce que l'on est amis? ou parce que l'on se ressemble?

"Ne...ne...ne pense jamais ce que ton père t'as dit! Ce n'est pas vrai! Tu n'es pas un monstre, si tu l'étais vraiment, tu chercherais pas a m'écouter et a m'aider! Tu es la première personne à avoir été si gentille avec moi, ALORS NE PENSE JAMAIS CA TU M'ENTENDS, Tu n'est et tu ne seras jamais un monstre!"

Isuzu pris Kaze dans ses bras le visage de kazedans contre sa poitrine, Isuzu pleurais ressentant tout le mal que kaze avait du avoir dans sa vie. Elle qui avait vécu des choses similaires à lui, ne voulaispas qui crois qu'il était un monstre ou quoi que ce soit. Isuzu un peu genée regarda kaze toujours la tete contre la poitrine d'Isuzu.

"Désolé kaze-kun, je ne sais pas trop comment réconforter les gens, j'espère que m'en veux pas trop! Tu sais moi je....je tiens a toi! Alors ensemble essayons de sourire et de vivfre heureusement, de s'aider mutuellement et dê rester amis quoiqu'il arrive! Tu veux bien dit?

Isuzu le regard avec ses yeux envoutant, lui souria, un sourire qui venait du fond du coeur de cette dernière. Elle voulais que désormais kaze se sentes bien. Elle venait de se promettre à elle-meme cette promesse.

Hs: Voila j'ai essayée d'avoir de l'inspiration pour une fois mais ce n'est pa super! Gomen ^^"